Péché mignon, Mère, Belles, Kali, adieu?,Ton retour, Larme.

Le rêve de ma vie ne tenait qu’à un fil
Souple et solide il ne craignait le péril
Et pourtant au moment inattendu
Un simple éclat de verre la rompu

Erre destin fragile, part de magie disparue
Pourquoi devoir souffrir des besoins confus ?
Condamnez moi de vos désirs
Si tant bien même j’ai fait souffrir

Me voilà esclave vous voilà reines
Je suffoque et m’agite dans ma peine
Puisse le goût de la cerise
Esquiver ces sentiments qui me méprisent.

Larme.

Kali je t'aime je pense à toi, j'aime .. tes soeurs aussi ..
Je comprends toujours pas comment on a pu en arriver là
Mes sentiments ont beaux être pures elles doutent quand même de moi.

Le temps s’acoquine dans le fief de la vie, bien des idoles, bien des soucis
Elles parcourent mon corps, sans règles aucune que guider mes envies
Elle était là face à moi, les larmes sur son visage, sa voix frissonnante
Que diable as-tu fait pour mériter ceci, achever cette passion dévorante


Cette vérité impropre que tu craches comme du venin est bien subjective
Aimes-tu tant ces gens que ton agressivité fut missive ?
Dans ce tonnerre de colère te voilà nue, regardant le ciel
Les ombres sur le sol ne sont plus les tiennes, tu as commis le sacrilège


Je ne voulais pas et tu le sais, pourquoi m’enfonces-tu ainsi
Née de la mort pour l’oublie, être aimée, confuse et dévorée
Souviens toi de ce moment, le péril était là, qu’as-tu vu ?!
J’ai fermé mon âme pour me protéger je n’aurais pas su !


Su quoi dire, mon désire de comprendre…ma raison…
Su quoi dire !? ne t’ai-je donc appris qu’à fuir ?!
Je suis elle, tu es toi referme ton âme et dis moi !
Je relève la tête, tu es là j’aperçois d’abord tes cheveux


Je me souviens de ces moments ou je croyais en toi
Ces sourires naïfs, le bonheur de vivre, de se sentir sœurs
Fière de l’être, je me serais sacrifier pour toi , cependant
Ton regard me glace, tout est fini, le vent souffle, et ..

Et…, et tu es là, devant moi, tu pleures, le mépris dans les yeux.

S.M. M. puisse M.M.S.

Explication: l'âme d'Air : marron//Sylphes : orange.
Sylphes idolatre Mélyonen, ce texte raconte comment Sylphes l'a vécu de façon purement subjective en le racontant à Air.
Sylphes du haut de ses 17 ans trouve facillement des gens mieux qu'elle, elle se cherche, sa fougue naturelle passe souvent pour de l'agressivité.
Pas assez mûre certainement, grandira t elle?

C'est vraiment marrant ce site (donnez moi une tablette ><)

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Tu as un sacré coup de souris, bravo.

Oups, il ne faudrait pas que je te dise trop de truc gentil, tu pourrais croire que je t'aime bien.

Tres joli, tu as du talent.

Fleur de lune ton visage s'assombrit
L'éclat de ton âme ma pourtant envahit
Il séjourne en mon cœur, magistral
Imperturbable, peut être fatal

Ouvre les yeux je suis là,
Sèches ces larmes qui m'indisposent ;_;
Cette attente est dur, en es-tu lasse?
Accroche toi à ces petites chose.

Je suis encore sous le choque de plusieurs choses .. j'espere que le temps des cerises arrivera bientot, je t'aime. ta douce à jamais.

Le temps s'est arrêté, le silence, plus rien, tu n'es plus là
Le noir m'envahit, le rouge de tes cheveux s'évanouit
Un coup de plus dans ma chair qui fut tienne, tu n'es plus là
Dernier sursaut d'un amour fou qui à mes yeux le restera

Cet adieu radical, au goût amer inachevé entre tes lèvres...
Ton parfum, ces larmes si belles... Je n'ai pas su te retenir
Tu as su partir, puisque c'est ton souhait.
J'aurais beau te dire mes regrets..
Ceci est un point final, déesse de ma vie je t'aime


Pardon, adieu ... je t'aime à jamais.

Triste nouvelle.

Longue fut mon attente,
et eternelle elle aurait pu être
Mais lorsque je vis celle
Celle qui se prend pour ta mère
Se promener avec celui qui fut soi disans
ton guerrier de passage
Mon sang ne fit qu un tour

Et un cri de vengeance personnelle monta en moi
Je fus a deux doigts de l'agresser gratuitement cette chevalière
Ce crime qui ne dépassa pas ma pensée, à ce moment,
Me fit comprendre la profondeur de ma solitude
Me sentant ainsi mis à l'écart de ta famille
Je n'allai pas attendre plus longuement

Je préfère mettre un terme clair avant d'en souffrir d'avantage.
Mon amour pour toi s'est retourné contre moi,
Mon attente s'est transformée en impatience
Et plutôt que ces doux souvenirs que j'ai de toi
se transforment en ressentiments
J'ai préféré refermer mon âme comme elle l'a toujours été

Quitte a vivre seule, je choisis de vivre seule et sans attente

Il est des erreurs que l'on fait contre sa volonté
Il est des chemins sur lesquels on s'engage à reculon
Celui de m'éloigner de toi
Me coupe un peu plus le souffle à chaque pas

Même si je le voulais, je ne peux pas
Que je sois damnée si à nouveau
Si à nouveau j'emprunte le chemin de la solitude

Sylphes, ton nom résonne dans chaque pore de ma peau
Et tes baisers sont devnus ma seule envie
Je ne ne veux plus me passer du plaisir
Je ne veux pas tourner le dos à mes désirs inavoués

Tienne et chienne à jamais

K.

La souffrance révèle la joie.

Retrouvez vous et votre amour sera sublimé.

Douce brise sur mon chemin--toi
Tu as fait changé mon destin--mon amour
Les notes de tes chants m'enivrent--ta voix
Ces douces mélodies, qui me font vivre--tes mots

Tu as fendu le marbre de mon être--mon coeur
Mise à nue, je ne peux fuir--je suis lache comme toujours
Regarde ce soleil qui t'éclair--!
Apprécies ses rayons qui me font gémir.--tu me manques....

Je comprends, je conçois... pardonne moi.

Que sont mes lèvres, face à l'absence.

Qu'est mon désir, face à la présence.

Et pourtant.... Si tu savais a quel point l'amour que je te porte est doux et ingénu.

Il ne fut pas un seul instant ou mon coeur a failli.

Je suis fidèle, à jamais...

Et je suis tienne

K.

Ose m'aimer comme je t'aime, et notre amour sera le plus beau que les astres n'auront jamais vu. Je suis tienne, tienne, comme tu ne pourras jamais en rever.

Sens-tu le vent souffler,
Que cherche t il à dire
Il passe sur nos rires
Adieux et sourires gâchés

La tempête gronde en vain,
Au loin, elle est bien là
Peu importe son choix
Je serai là au petit matin.

fidele ?