Au cours de la seconde moitié du douzième siècle, après que le culte du Féca eut prit de l’importance en Amakna, Le culte décréta que les visions d’akarat devaient être répandue dans le monde connue afin de racheter les masses. C’est ainsi que le culte sélectionna ses prêtres les plus pieux et les plus charismatiques pour les envoyer sur amakna avec pour mission de convertir les peuples.
Malheureusement, le cule n’avait pas préparé ces hommes au rigueurs du voyage et au dangers de ce monde.
Les prêtres qui survécurent revinrent avec de terrifiantes histoires parlant d’attaque de bandits, d’horribles trolls.
Le culte commença pour assurer les missions futures à former des guerrières sacrées, Les féca.
Ces protecteurs de la parole se montrèrent plus efficaces pour convertir les tribus indigènes que les prêtres qu’elles avaient pour mission de défendre.
Cependant, une fois la parole répandue dans toutes les grandes villes d’amakna, « les protectrices de la paroles » furent isolé par le culte qui n’en avait plus la moindre utilité.
Quelques décennies plus tard, le besoin des protectrices de la paix se fit de nouveau sentir.
Au fort de l’époque des troubles, Le culte entama une seconde campagne de conversion. Cette fois en revanche, les sceptiques irréductibles furent sujets à la damnation. L’inquisition se répandit sur les terres comme une tempête détruisant tous celles qui étaient suspecté de corruption ou de possession démoniaque.
Au milieu de cette croisade sanglante, une rébellion éclata dans les rangs du culte.
Les mutines condamnaient les méthodes du culte, proclament que le nouvel ordre des féca devait protéger les innocents et que la corruption démoniaque qu’elles devaient combattrent était une simple preuve de l’échec de leurs prédécesseurs. Elles résolurent de combattre la véritable source de corruption, les démons …
C’est ainsi que les Féca rebelles quittèrent leurs sœurs du culte et s’installèrent en amakna.