*regarde la grande salle du clan des FDLL et ses sièges confortables avec un regard triste*
j'ai hate de pouvoir m'y allonger et m'y reposer de nouveau... mais actuellement, comme vous avez du le constater, j'ai beaucoup de mal à y passer, et encore plus à la taverne ou dans le pays.
Je pense que je dois vous expliquer: pour celles qui ne m'auraient pas encore croisée, j'ai commencé récemment ma formation de brakmarienne, car comme on dit, on ne peut pas renier ses origines, et j'ai été élevée dans un esprit d'attachement à cette ville.
Je me suis donc adressée à Otto qui m'a confié tout un tas de mission pour montrer ma force, mon courage et ma détermination... sauf que j'ai eu tout plein de problème, j'ai apporté des épées de fourailles au lieu des dagues de boissaille, j'ai tué son valet au lieu de taper son chaffer, j'ai cru que c'était la serveuse de la taverne qui avait commis le meurtre (et elle s'est pas laissée faire quand j'ai voulu la ramener à Otto et elle a des griffes pires que les miennes!), ensuite j'ai essayé d'arracher des dents aux abra (mais ils n'en ont pas, je ne comprenais pas cette stupide mission!), j'ai perdu 2 caisses d'armes et enfin j'ai confondu l'écureuil voleur avec un tofu orange échappé de la foire du trool. Bref après toute cette série de catastrophes, ben bizarrement Otto ne voulait plus trop de moi dans les rangs de Brakmar
alors au lieu de me donner une permission de 24h comme aux autres, il m'a donné une permission illimitée avec pour objectif de méditer sur l'intérêt pour la cité de Brakmar d'avoir dans ses rangs une, je cite "éca trop étourdie pour être méchante" ...
bon ben la stupide éca, elle veut pas se laisser abattre, alors elle médite et prépare un beau discours pour cet Otto vantard (un bon brakmarien tiens!), pour lui prouver que je mérite mes grandes ailes... et ça ça me prend énormément de temps et d'énergie, et j'y consacre mes journées et mes nuits.
Je suis bien fatiguée et vous me manquez beaucoup, mais je pense avoir fini en début de semaine prochaine.
*dépose un bisou humide sur le parchemin et l'épingle bien en vu sur le tableau*