Arino le Bienfaiteur
Ou l’invocateur au marteau de fer*Un jeune Osamodas s’apprête à se présenter*
Bonjours, mesdames et messieurs. Je suis Arino, 1er du nom, descendant d’une longue lignée d’Osamodas.
Mon père, également disciple, rencontra un beau jour ma mère : le coup de foudre fut immédiat.
Mal leurs en prit car ma mère née village Iop, avait interdiction d’épouser un homme d’une autre religion.
Ils s’aimèrent en secret pendant 2 ans. Je fut alors conçue.
Ma naissance fut évidemment découverte par les villageois, qui s’empressèrent de mettre à mort mon père et ma mère, et m’abandonnèrent dans la forêt.
Mes dons que je tenais de mon père s’éveillèrent au contact de cette nature. La forêt, au lieu de me promettre à une mort longue et douloureuse, m'accueillit en son sein, fut ma mère adoptive, mais je garda en moi une grand part d’humanité.
A mon age de raison, je sortis de la forêt, me mit en quête de vengeance, voulant massacrer tous les Iops, car ils avaient détruit ma vie.
A ce moment, je découvrit 2 choses : La défaites et la reconnaissance : Je fit la rencontre d’une Iopette. Une vague de sang déferla devant mes yeux. Je me précipita sur elle et….. Je me réveilla 2 jours plus tard.
Elle m’a soigné après m’avoir vaincue. Moi qui croyais que les Iops n’étaient que des brutes sanguinaires, elle m’apprit le contraire. Le village Iop d’où venait ma mère étaient des hérétiques. Et Cette Iopette resta à mon chevet une semaine durant. Elle s’appelait Terraknight.
Puis je repartis, restant la majeure partit du temps dans les forêts. Je garda un caractère, bien que bienveillant, quelque peu timide.
Je rencontra également Dark-Cain et Perle-de-lait, avec qui il se lia d’amitié.
Puis j’entendit parler de Bonta, ville des Anges, ou tous œuvrait pour la paix.
Je partit pour cette ville, et quand je parvint, après de nombreux jours de routes, à atteindre mon but, je fut consterné. Je vis cette ville en proie a l’anarchie, au pillage de ses propres habitants au nom du bien.
Je fis alors le vœu de rendre aux anges sa splendeur de jadis.
*Alors vous voyez cet Osamodas, souffrant en se rappelant les périodes de sa vie, retenant une larme, se rasseoir doucement dans l’herbe de cette belle forêt de Bonta*